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BULLETIN

Les avantages et bienfaits du sport, inconvénients et contre-indications…

Avantages du sport
Faire du sport

La Marche

Avantages de ce sport

C’est l’activité la plus naturelle aux humains car elle répond à leur morphologie. Elle est particulièrement profitable à la femme, car elle corrige la fatigue pelvienne, conséquence de la station debout. Elle est encore plus bénéfique à la femme enceinte par son action équilibrante sur la tenue du corps ainsi que sur les douleurs lombaires qu’elle atténue.
C’est un sport facile et à la portée de tous.

Désavantages

Elle ne permet pas d’acquérir un développement harmonieux et complet. Elle n’a aucune action sur les bras et n’apporte pas la décontraction cérébrale que l’on peut attendre du sport car elle n’accapare pas la pensée.
Il y a donc intérêt à l’associer à la pratique d’un autre sport qui viendra compenser ses faiblesses (aviron, escrime).

Technique

Pour que la marche procure les avantages que l’on attend d’elle, il faut apprendre à « bien marcher ». C’est-à-dire qu’il faut, dans la mesure du possible, choisir l’endroit le plus favorable : préférer la campagne à la ville, les espaces aérés, les terrains accidentés. La manière de marcher a son importance : synchronisation des jambes et des bras.
Un bon marcheur balance modérément ses bras d’avant en arrière, à l’opposé des jambes et au même rythme. Les pieds doivent se dérouler complètement du talon à la pointe.
Enfin, il faut adopter une allure régulière, souple, ni trop accélérée, ni trop lente.

Équipement

Rien d’autre qu’une paire de chaussures.

Contre-indications

Aucunes.

Athlétisme

Avantages de ce sport

Englobant l’ensemble des disciplines du stade, ce sport exige des qualités qui ne peuvent s’acquérir que par la répétition de gestes identiques jusqu’à leur mécanisation et par l’acceptation d’une discipline rigoureuse. Ce sport suppose donc un certain nombre de qualités morales, telles que volonté, ténacité, maîtrise de soi, combativité. Il développe de grandes qualités physiques : il assure un excellent développement musculaire, fortifie le cœur, favorise l’harmonisation corporelle, accroît la souplesse et la résistance.

Désavantages

Si la plupart des disciplines façonnent une silhouette souple et longiligne, certaines d’entre elles ont le défaut de développer une musculature un peu trop volumineuse.

Contre-indications

Essentiellement les maladies cardiaques et pulmonaires.

Le ski, le surf

Comme de nombreux sports de glisse, il s’oriente vers la recherche esthétique du mouvement parfait et la recherche de nouvelles figures (qui nous distinguent des autres).
Un sport qui se tourne de plus en plus vers le « visuel et l’apparence », mais qui demande une grande rigueur et un entraînement quotidien pour progresser.
Le ski était un dépaysement total, mais la nécessité de le rendre accessible à tous a récréé à la montagne les mêmes conditions que l’on trouve en ville : pollution par la foule, le bruit … des individus qui ne respectent plus cet univers, toujours par méconnaissance du milieu dans lequel ils vont de trouver immergés … où chacun, si souvent, par souci de sa seule liberté (égoïsme et individualisme) empiète constamment sur celle des autres.
Alors qu’avant c’était une réelle désintoxication puisque c’était un séjour hors du cadre habituel, elle s’est transformée en une nouvelle forme d’intoxication…
D’où la recherche d’espaces vierges mais une méconnaissance du milieu naturel et de soi y est toujours fatale.
Prétendre tout savoir ici plus qu’ailleurs est une erreur fatale même parfois pour des professionnels, la faute serait de ne pas en tenir compte.

Avantages de ce sport

La lumière, la pureté et la beauté des sites sont de véritables euphorisants.
Sport complet, le ski, comme le surf, favorise l’oxygénation des tissus, développe l’ensemble des muscles, donne force et souplesse aux articulations des genoux et des chevilles, développe adresse et sens de l’équilibre.
Il donne du courage, de l’assurance et apprend la maîtrise de soi.

Désavantages

Sport rude, il est la cause de fréquents accidents pouvant aller de la simple entorse à la fracture voire la mort.

Équipement

Tous les prix.

Contre-indications

Toutes les maladies des voies respiratoires et du cœur que l’altitude et l’effort mettent à l’épreuve.
Le ski est vivement conseillé à l’enfant : sa souplesse est exceptionnelle, il est audacieux, « fonceur » ; il comprend d’emblée les principes de la technique.
Pourtant on voit chaque année des personnes de cinquante ans se mettre au ski. Elles ne deviendront sans doute jamais des championnes, mais atteindront assez vite le stade agréable et en retireront le plus grand profit, physique et moral.
Lorsque l’on commence tardivement cette discipline, il est nécessaire d’avoir suivi un entraînement régulier, notamment avoir conservé une bonne musculature par l’exercice quotidien d’une culture physique appropriée.

L’équitation

Avantages de ce sport

On ne peut pas être un bon cavalier si l’on n’aime pas les animaux.
La relation entre le cheval et l’homme doit être totale.
L’équitation suppose du courage pour ne pas braquer son cheval par une appréhension qu’il ressent et qui l’affole, et de la persévérance car il faut s’y appliquer longtemps et régulièrement.
Il faut encore être parfaitement maître de soi, pour rester calme, quoi qu’il arrive et ne jamais tirer sur les rênes ni se crisper, ce qui aggrave la nervosité du cheval et l’amène à « embarquer » son cavalier.
Sans accroître beaucoup la musculature, l’équitation développe les muscles dorsolombaires, les abdominaux et les muscles des cuisses. Elle assouplit les articulations des genoux, des chevilles et des talons. Elle donne de l’équilibre et du réflexe.

Désavantages

Ce sport, un des plus exigeants qui soient, nécessite plusieurs heures d’entraînement chaque semaine, faute de quoi l’on ne devient jamais un bon cavalier. Il faut donc pouvoir disposer de beaucoup de temps, ce qui est peu compatible avec la vie actuelle.

Contre-indications

Elles concernent surtout les déformations de la colonne vertébrale, la faiblesse de la sangle abdominale et la fragilité des reins. Il faut toujours commencer l’équitation en manège et ne sortir seul que lorsque l’on est capable de tenir son cheval.
Sa pratique est moins onéreuse que celle de certains sports comme le ski par exemple.

La voile

Avantages de ce sport

Faire de la voile suppose d’avoir « du caractère » car les débuts peuvent être très longs (la première sortie en « solitaire » exige des heures d’apprentissage préalable). Il ne s’agit pas d’un sport confortable : on reçoit des embruns et même des giclées d’eau glacée au visage ou sur le corps.
Ce sport développe l’esprit d’initiative, car les décisions sont toujours urgentes : il faut lutter contre un élément que l’on connaît mal, ne pas s’affoler en cas de coup dur, savoir rentrer au port si la prolongation de la sortie s’annonce périlleuse. Il suppose du courage, de la rapidité, de la précision, de la patience (quand on attend la risée !) et du jugement.
La pratique de la voile implique un « décrochage » total d’avec les soucis quotidiens car l’esprit doit être libre pour faire face à d’autres problèmes plus immédiats.
Sur le plan physique, la voile tonifie les muscles abdominaux et dorsaux, elle oxygène l’organisme au maximum ; elle favorise l’équilibre nerveux : toute agitation est dangereuse et les décisions doivent être prises calmement. Enfin, il faut avoir une grande résistance physique car certaines sorties en mer sont de véritables épreuves.

Désavantages

Les dangers sont dépendants de la nature-même des éléments dans lesquels a lieu cette activité qui doit tenir compte de la mer (courants …) et de la météo (vents).
Elle fait donc courir à ses adeptes, généralement jeunes et souvent inexpérimentés, des dangers et nécessite une grande rigueur.

Technique

Il faut distinguer la navigation sur dériveur de la navigation sur quillard. La quille est plombée, la dérive ne l’est pas. Petit bateau très maniable, le dériveur est léger, il faut constamment le redresser et, par grand vent, cela impose la pratique du « rappel » : le corps est en partie, et parfois en totalité, hors du bateau afin de peser sur l’embarcation pour la ramener à un juste équilibre, tout en tirant très fort sur les « écoutes ».
C’est un sport fatigant, mais les sorties sont limitées.
La navigation sur quillard est plus débonnaire et permet de faire des croisières, ce qui suppose de coucher et de prendre ses repas à bord dans des conditions de confort précaire. Il faut savoir domestiquer son sommeil car on prend la barre à n’importe quelle heure de la nuit.
Dans les deux cas, faire de la voile suppose que l’on sache diriger son bateau, le manier, prendre le vent, suivre un cap, virer de bord, modifier la surface de la voile. Bref, c’est être actif à tout moment. Enfin il est indispensable d’être très bon nageur.

Contre-indications

Elles sont exceptionnelles et ne concernent que les organismes vraiment déficients ; mais la voile pratiquée en mer ne convient pas à ceux qui sont atteints de certaines affections pulmonaires, pour qui le climat marin et le soleil intense sont contre-indiqués.

Le VTT

Avantages de ce sport

Ce sport, pour lequel les enfants ont une prédilection particulière, commence à conquérir un public d’adultes car il a sa place, sinon parmi les sports complets, du moins parmi ceux qui sont salutaires à l’organisme.
Il allonge les membres, développe la cage thoracique, fortifie le cœur et les poumons. Le travail des muscles est important, mais le cyclisme met l’accent sur la souplesse et non sur la force.
La position du cycliste favorise la respiration et ne la bloque pas. L’absorption d’oxygène et le rejet de gaz carbonique par les poumons sont de six à huit fois ce qu’ils sont au repos. En outre, la pratique régulière du cyclisme est un excellent régulateur de sommeil.

Désavantages

Très peu.

Technique

Cela dépend du niveau que vous voulez atteindre.

Contre-indications

Elles concernent la raideur des articulations et de la colonne vertébrale.

La chasse

Vieille comme le monde, la chasse connaît une vogue accrue car c’est un attachement aux valeurs traditionnelles, et est extrêmement populaire.
La chasse naturelle a tendance à disparaître en raison de l’augmentation du nombre des chasseurs et de la diminution du gibier sauvage.
La chasse actuelle s’adresse à tout public quels que soient l’âge, le sexe et la « sportivité ».
Il faut cependant établir une différence entre rester à l’affût et parcourir vingt kilomètres dans sa journée ; seule la deuxième chasse est sportive.
En tant que sport, elle exige un certain nombre de qualités : il faut une solide résistance physique car les marches sont longues, et en tous terrains.

Il faut connaître et aimer la nature, avoir le sens du gibier, avoir une excellente vue et surtout… être « bon tireur ».
Si l’on ne veut pas se contenter de chasser sur les territoires communaux, la chasse est un sport très onéreux car les chasses privées se louent à des prix astronomiques et parce que le moindre fusil de bonne qualité coûte cher.
Mais ses adeptes sont des passionnés qui acceptent tous les sacrifices pour satisfaire leur « passion personnelle », parfois à la limite d’une certaine intolérance ; passion développée le plus souvent depuis l’enfance.

La pêche

La pêche ordinaire est plus un passe-temps, un délassement, une sorte de concours de patience qu’un véritable sport. Le pêcheur est généralement assis, lance sa canne dans l’eau et la retire si « ça mord ». Mais le corps ne participe guère.
Seule la pêche au lancer est sportive. Elle exige résistance physique, force, adresse et habileté.

Ces deux dernières pratiques sont excellentes pour se décontracter.

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